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Catégorie : Actualités
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Numéro 1 : L’éducation en questions
L’éducation en questions
N° 01/2020 Disponible dans toutes les librairies-kiosques.
Partie 1 Éducation, performances et abandon : de quoi parle-t-on au juste ?
Partie 2 Difficultés du système éducatif et efficience des actions palliatives publiques et associatives
Partie 3 L’éducation constitue-t-elle un ascenseur social ?
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Annonce d’un séminaire de recherche doctorale, le 08/01/2021
L’équipe de recherche en Économétrie Appliquée de la faculté des sciences juridiques, économiques et sociales de Aïn-Chock organise un séminaire de recherche doctorale le 08 Janvier 2021 de 14h30 à 16h30 au centre LINKS.
Sujet 1 : Implication parentale et acquisitions scolaires : l’apport d’une analyse multi-niveaux.
Intervenant : IKIRA Marouane
Résumé :
Les parents exercent un rôle majeur concernant la réussite scolaire ainsi que le développement cognitif et social de leurs enfants. Ce travail vise à tester l’impact de certaines activités d’encadrement à la maison sur les performances scolaires des élèves de la quatrième année de l’enseignement primaire au Maroc, en se basant sur des données des enquêtes TIMSS 2015. Les analyses multiniveaux effectuées sur des données marocaines ont révélé que l’implication des parents exerce un effet positif sur les acquis scolaires des élèves, mais cet effet est plus accentué chez les plus pauvres. Enfin, une analyse à l’échelle locale montre que le déficit en matière de conditions d’apprentissage et de ressources scolaires ne se limite pas seulement à l’école publique, mais cela persiste même au sein de certaines écoles privées. En termes d’implications politiques, nous suggérons que les décideurs publics doivent trouver le moyen de pallier la défaillance de l’engagement des parents.
Sujet 2 : Effets de la transformation structurelle sur les inégalités des revenus : cas d’un panel de pays développés et en développement.
Intervenant : BOUAZIZI Youssef
Résumé :
Contribuant aux travaux de recherche portant sur les effets de la croissance économique sur les inégalités des revenus, cette étude porte sur le test de la courbe de Kuznets par le biais de la transformation structurelle. L’hypothèse sous-jacente stipule que le changement structurel aggrave les inégalités dans les premières phases de développement. En utilisant un échantillon de pays ayant des niveaux de développement différents, sur la période 1960-2018, on conclut que cette hypothèse n’est pas valide pour le cas de la transformation structurelle axée sur le secteur industriel contrairement à celle qui est induite par le secteur des services. Cela confirme, par conséquent, les bienfaits de l’industrialisation sur le développement économique. En effet, outre son impact positif sur la croissance économique, l’industrialisation permet de réduire les inégalités. Notons enfin que nos conclusions sont robustes à une série d’estimateurs économétriques, notamment au modèle à effets fixes et la méthode de GMM.
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Rapport 02 : « Crise sanitaire et répercussions économiques et sociales au Maroc : évaluations et analyses d’un collectif de chercheurs »
Par :
Fatima-Zahra Aazi, Martine Audibert, Youssef Bouazizi, Safia Fekkaklouhail, Marouane Ikira, Hicham Masmoudi, Fouzi M. Mourji, Zineb Nahmed, Meriem Oudmane, Yasser Y. Tamsamani.Résumé :
Le Syndrome Respiratoire Aigu Sévère (SRAS) est une maladie infectieuse, provoquée par des coronavirus émergents responsables de trois épidémies mortelles depuis le début du XXIème siècle. La première observée en novembre 2002 (SARS-CoV), dans le sud de la Chine, puis 10 ans après, en 2012, en Arabie Saoudite avec le MERS-CoV et l’épidémie actuelle, qui a débuté à Wuhan en Chine en décembre 2019. Le 7 janvier 2020, les scientifiques chinois déterminent un nouveau coronavirus comme la cause de cette maladie. Vu les traits de similarité avec le SARS-CoV, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) donne l’appellation SARS-CoV-2 au nouveau virus et Covid-19 à la maladie qui lui est associée. Après l’annonce, le 20 janvier 2020, de la preuve de la transmissibilité interhumaine du virus par l’épidémiologiste Zhong Nanshan, les autorités chinoises ont confiné chez eux les habitants de la ville de Wuhan, arrêté tous les moyens de transport et interdit à quiconque de sortir de la ville et d’y entrer.
Contrairement aux deux précédentes épidémies, celle du Covid-19 s’est propagée à l’ensemble de la planète. Fin janvier, les premiers cas sont apparus en Europe, puis sur le continent américain et le continent africain. Le 30 Janvier, l’OMS déclarait l’état d’urgence sanitaire mondiale. Les épidémiologistes semblent s’accorder pour dire que les épidémies liées aux coronavirus sont désormais cycliques, les gouvernants devant s’attendre à voir réapparaître d’autres épidémies de SRAS.
Les objectifs du présent travail de recherche consistent à évaluer sous divers angles l’impact de cette crise sanitaire au Maroc et des dispositions prises pour y faire face, à comprendre les mécanismes qui sous-tendent l’enchaînement des effets dans le but de doter les décideurs d’outils pour optimiser les bienfaits des stratégies qu’ils peuvent déployer. Il s’agit à court terme de réfléchir aux modalités de sortie de la crise actuelle et à plus long terme, aux mesures préventives à identifier pour mieux faire face à de futures résurgences de ce type de crise.
Au Maroc, le premier cas de Covid-19 (importé d’Italie) a été enregistré le 2 mars 2020. Assez rapidement le virus circule, les premiers cas autochtones apparaissent et l’épidémie se répand relativement lentement d’abord, pour atteindre 21.387 cas fin juillet (https://www.coronavirusstatistiques.com/stats-pays/coronavirus-nombre-de-cas-maroc/), et par la suite bien plus rapidement. Le 24 août, le nombre total cumulé de cas a atteint 53254 dont 920 décès. Bien que peu touché au départ, les autorités ont opté tôt pour le confinement de la population, la fermeture des frontières aériennes, maritimes et terrestres et l’annulation de toutes manifestations politique, religieuse, culturelle et sociale. De ce fait, le nombre moyen de reproduction de la maladie(R0) est passé de plus de 2 au début de la pandémie à 0.7 le début juin (ministère de la santé, voir tableau A1.11). Ainsi la pandémie de Covid-19 n’aura pas causé de crise sanitaire majeure au Maroc durant la première phase, cependant les mesures de prévention arrêtées par les autorités se sont soldées par des conséquences non négligeables sur l’économie en affectant la production et la consommation et par là, le niveau de vie des marocains en creusant les inégalités. Certes, les autorités ont très tôt pris des mesures palliatives en octroyant des aides aux plus vulnérables, mais elles n’ont pas été, comme nous le montrons, suffisantes pour empêcher une dégradation du niveau de vie.
Étant donné les objectifs qui ont motivé cette recherche, ce rapport se focalise sur trois grandes préoccupations :
i) d’abord au niveau sanitaire, nous analysons les conséquences des mesures de prévention contre le Covid-19 prises par les autorités en vue de proposer des outils pour cibler les groupes potentiellement les plus vulnérables en cas de résurgence d’une telle épidémie. Ainsi au-delà des facteurs de risque actuellement connus, nous avons brossé le profil des personnes à cibler et à protéger en priorité.
ii) ensuite, nous mesurons les retombées micro et macroéconomiques des décisions visant à limiter l’expansion de l’épidémie, notamment le confinement. Une fois distingués les secteurs ayant subi un choc d’offre et ceux un choc de demande et pris en compte les mesures de soutien prises, des traitements sur le tableau des Entrées-Sorties nous ont permis alors de formuler des propositions destinées d’une part à en atténuer les effets négatifs sur la croissance économique et d’autre part à identifier les secteurs idoines qu’il convient de soutenir pour faciliter la relance.
iii) enfin, après ces travaux sur la dimension sanitaire et sur l’appareil productif, l’attention porte sur le vécu des ménages. Le recours aux données d’enquêtes a constitué un moyen efficace pour appréhender l’impact de la crise sanitaire et des dispositions qui s’en sont suivies sur le niveau de vie des ménages, notamment celui des classes pauvres. Outre l’estimation du volume de la population qui a sombré dans la précarité, nous mesurons les conséquences sur les inégalités. Pour discuter la portée des mesures palliatives (les aides distribuées aux ménages), ces aspects sont traités avant et après leur mise en œuvre.
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Appel à contributions au numéro 2 de la revue Réflexions Économiques Thème : L’économie de la santé : couverture sanitaire universelle, santé, accès aux soins et développement économique
Motivation :
La santé est une composante du bien-être des individus et un facteur déterminant du développement économique. A la suite de Gary Becker (1984) qui montre le rôle du capital humain et de son investissement, notamment dans l’éducation, sur le développement économique, Michaël Grossman (1972) s’intéresse à la santé et se pose la question du rôle de l’éducation sur la santé (1972 ; 1975). Il montre que la complétude de la durée légale de la scolarisation est fortement corrélée au niveau de santé des individus. Mais si l’éducation a un effet positif sur la santé – un niveau d’éducation élevé permet de comprendre les enjeux de la prévention et d’adopter un comportement qui réduit les risques (manger de façon équilibrée en prévention de l’obésité ou se laver les mains régulièrement et se tenir à distance comme préconisé tout récemment dans le cas du Covid-19) – la santé joue également sur l’apprentissage et la durée de la scolarisation : une mauvaise santé peut entraîner une baisse de l’attention et induire des mauvaises performances scolaires, comme dans le cas du paludisme par exemple (Thuillez, 2009). L’invalidité due à la maladie n’agit pas seulement sur les performances scolaires, elle agit aussi au niveau microéconomique, sur la productivité du travail et sur l’absentéisme ce qui peut conduire à des pertes de revenu (Audibert, 1986). Au niveau macroéconomique, Barro et Lee (1994) et Bloom et al (2004) montrent que la santé a un effet sur la croissance économique. Au-delà de l’amélioration du bien-être de chacun, investir dans la santé est un enjeu économique (impact sur le développement), mais aussi un enjeu financier (quel financement optimal de la santé ? Et quand doit-il être opéré ? en amont (prévention) ou en aval (dépenses pour les soins). Les individus chercheront à restaurer leur santé en exprimant une demande de soins par l’accès aux services de santé. Au niveau des Etats, les politiques de santé doivent permettre de tendre vers la couverture sanitaire universelle. Celle-ci s’entendant comme : « une situation dans laquelle toutes les personnes et toutes les communautés bénéficient des services de santé dont elles ont besoin sans se heurter à des difficultés financières. Elle englobe la gamme complète des services de santé essentiels de qualité, qu’il s’agisse de la promotion de la santé, de la prévention, des traitements, de la réadaptation et des soins palliatifs (OMS,https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/universal-health-coverage-(uhc)». Le concept de CSU implique du côté de la demande, l’absence de barrières (géographique, financière, culturelle) à l’accès et du côté de l’offre, la présence de ressources humaines et matérielles suffisantes et de qualité et la mise en place de politiques préventives efficaces et efficientes. Se pose alors la question du mode de financement de la santé : gratuité totale ou partielle, subventions, mutualisation du risque par l’assurance obligatoire, volontaire ? En consacrant à la santé des ressources humaines et financières importantes, les Etats cherchent à améliorer le bien-être des individus, à réduire la mortalité et les invalidités tout en leur évitant des dépenses catastrophiques. Les résultats sont hétérogènes, pour un même pays où les inégalités persistent et d’un pays à l’autre, où certains font mieux avec des moyens quasi identiques.
L’objet de ce numéro de la revue Réflexions Économiques est de contribuer à une évaluation et une analyse de la situation à la fois au Maroc et dans les pays qui pourraient servir de référence pour l’appréciation comme pour la compréhension des enjeux et des mécanismes qui expliquent la performance des Etats vers la CSU. Les analyses auxquelles sont conviés les auteurs pourraient avoir un caractère théorique et/ou empirique. L’objectif est de parvenir à des propos bien argumentés policy-oriented (ayant des implications de politique publique claire), dans le sens où l’esprit de la revue consiste à nourrir le débat public et in fine de servir à l’éclairage de la décision publique.
Les auteurs sont invités à proposer des articles originaux ou des articles (sous forme de note de lecture) synthétisant des rapports ou des contributions originales. Conformément à la ligne éditoriale de la revue, ce numéro vise un lectorat/auditoire aussi large que possible. De ce fait, les articles à soumettre devront tenter de :
i) Minimiser les aspects techniques ;
ii) Développer un argumentaire bien fondé ;
iii) Proposer, idéalement, des recommandations opérationnelles de stratégies au niveau
des politiques publiques de santé. Une attention particulière sera portée aux expériences internationales des questions traitées,
dans une optique de comparaison aussi bien pour les diagnostics que pour les stratégies et leurs performances. De dix à quinze pages chacun, une douzaine d’articles seront retenus pour ce numéro. Les réflexions développées pourront porter sur différents aspects tels que :- Les déterminants socio-économiques de la santé
- Les liens entre éducation et santé
- Les inégalités de santé et leurs causes
- Les modes de financement de la santé et les inégalités d’accès aux soins
- L’accès aux soins et ses déterminants
- Les obstacles au et/ou les conditions du développement de l’assurance maladie obligatoire/volontaire
- Protection financière et couverture universelle
- Protection financière et accès aux soins
- Les liens entre le développement de l‘assurance maladie et la santé
- L’efficacité des dépenses de santé
- L’évaluation des politiques publiques en matière de prévention des maladies
- Les rendements de la santé au niveau des individus comme au niveau macroéconomique
- La contractualisation au sein des établissements de santé et performance de l’offre de santé
- Incitations /paiement à la performance et qualité des soins
- L’efficience des unités hospitalières (on invite les chercheurs qui ont appliqué les méthodes DEA par exemple…)
Cette liste n’est pas limitative
Les éditrices en charge de ce numéro sont :
Martine AUDIBERT, Directrice de recherche émérite CERDI-CNRS, Senior Fellow FERDI, Clermont-Ferrand. Contact : martine.audibert@uca.fr
Safia FEKKAKLOUHAIL, Post-doctorante au Centro Studi Di Politica Internazionale (CeSPI), Rome, Docteur en Sciences Économiques de l’Université Hassan II de Casablanca. Contact : safia.fekkak@gmail.com
Les articles soumis feront l’objet d’une évaluation par deux rapporteurs.
La décision du comité de rédaction sera fondée sur les appréciations de ces rapporteurs.Soumission des articles et calendrier
Les articles, sous la forme recommandée par la revue (voir les consignes : www.refeco.org) devront être soumis par voie électronique aux éditrices de ce numéro. Veuillez mentionner dans « l’objet » des messages que l’article est soumis dans le cadre du numéro 2 de la revue RefEco.
Date limite de soumission des articles : 13 novembre 2020
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Annonce de deux soutenances de thèses
Safia Fekkaklouhail et Meriem Oudmane, membres à RéfEco, soutiennent publiquement leurs thèses respectives, le 25 novembre 2019 à la Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales, KM 8, Route d’El Jadida, Casablanca (salle des conférences 2), sous les thématiques suivantes :
Analyses économiques des conditions de généralisation de la couverture sociale au Maroc : Cas des retraites TéléchargerEnjeux de la généralisation de la couverture médicale au Maroc : Les enseignements d’analyse économiquesTélécharger -
Appel à contributions au numéro 1 de la revue Réflexions Économiques Thème : L’économie de l’éducation : enjeux et leçons d’expériences
Motivation :
L’éducation est une composante clé de l’épanouissement des individus et un facteur déterminant du développement des pays.
En effet au niveau des personnes, la réussite scolaire constitue un des moyens efficaces de socialisation des enfants et plus tard de leur insertion professionnelle et donc sociale.
Au niveau macroéconomique, la qualité de l’éducation est essentielle pour l’essor du capital humain : Lucas (1988) et Romer (1986) expliquent comment par la diffusion d’externalités positives, le capital humain favorise l’amélioration de la productivité et par suite la croissance économique et les IDE avec les transferts de technologies qu’ils supposent. Barro (1991) a procédé aux premières vérifications empiriques de ces théories.Dans les pays en développement, les efforts consentis dans le domaine de l’éducation visent, après la généralisation de la scolarisation des enfants, à améliorer le rendement scolaire des élèves et à limiter l’abandon scolaire.
En consacrant à l’éducation des ressources humaines et financières importantes, les pays cherchent à favoriser l’émergence de femmes et d’hommes capables de participer activement à leur développement économique et social.
Les résultats sont bien hétérogènes, pour un même pays selon les périodes considérées et surtout d’un pays à l’autre.L’objet de ce numéro de la revue Réflexions Économiques est de contribuer à une évaluation de la situation à la fois au Maroc et dans les pays qui pourraient servir de référence pour l’appréciation comme pour la compréhension des enjeux et des mécanismes qui expliquent les performances des individus et celles au niveau macroéconomique.
Les analyses auxquelles sont conviés les auteurs pourraient avoir un caractère théorique et/ou empirique. L’objectif est de parvenir à des propos bien argumentés policy-oriented (ayant des implications de politique économique claires), dans le sens où l’esprit de la revue consiste à nourrir le débat public et in fine de servir à l’éclairage de la décision publique.
Les auteurs sont invités à proposer des articles originaux ou des articles (sous forme de note de lecture) synthétisant des rapports ou des contributions originales.
Conformément à la ligne éditoriale de la revue, ce numéro vise un lectorat/ auditoire aussi large que possible. De ce fait, les articles à soumettre devront tenter de :i) minimiser les aspects techniques ;
ii) développer un argumentaire bien fondé ;
iii) proposer, idéalement, des recommandations opérationnelles de stratégies au niveau des ménages (à l’usage des parents), des établissements ou encore au niveau des politiques publiques en la matière.Une attention particulière sera portée aux expériences internationales des questions traitées, dans une optique de comparaison aussi bien pour les diagnostics que pour les stratégies et leurs performances.
De dix à quinze pages chacun, une dizaine d’articles seront retenus pour ce numéro.
Les réflexions développées pourront porter sur différents aspects tels que :- La scolarisation : analyse de l’évolution du taux au niveau macroéconomique et des facteurs explicatifs au niveau micro
- L’abandon scolaire
- Les performances scolaires et des systèmes éducatifs
- Evaluation des politiques publiques en matière d’éducation
- Les rendements de l’éducation au niveau des individus comme au niveau macroéconomique
- L’impact de l’éducation sur le marché du travail (emploi, salaire…)
- L’inadéquation entre les compétences acquises et les besoins du marché du travail
- Les défis de la formation professionnelle
- Le lien entre l’éducation et l’économie du comportement (ex : les compétences cognitives et non cognitives et leur lien avec la réussite scolaire et professionnelle)
- Le rôle de l’éducation dans la dynamique des inégalités et de la reproduction sociale.
Cette liste n’est pas limitative.
Les éditeurs en charge de ce numéro sont :
AbdeiIlah Abbaia, docteur en économétrie appliquée à l’économie de l’éducation. Contact : abbaia2@yahoo.fr
Abdeljaouad Ez-rari, chef de division à l’Observatoire des Conditions de Vie des Ménages et professeur vacataire à l’Université Hassan II – Casablanca. Docteur en économie et a dirigé plusieurs mémoires de Master en économie de l’éducation. Contact : ezzrari@yahoo.fr
Fouzi Mourji, professeur à la Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales – AïnChock – l’Université Hassan II – Casablanca. Contact : fmourji@gmail.com
Les articles soumis feront l’objet d’une évaluation par deux rapporteurs.
La décision du comité de rédaction sera fondée sur les appréciations de ces rapporteurs.Soumission des articles et calendrier
Les articles devront être soumis par voie électronique aux éditeurs de ce numéro.Veuillez mentionner dans « l’objet » des messages que l’article est soumis dans le cadre du numéro relatif à « L’économie de l’éducation : enjeux et leçons d’expériences ».
Date limite de soumission des articles : 30 septembre 2019.
Les réponses du comité de rédaction seront transmises le 31 octobre 2019 pour une publication prévue en mois de décembre 2019.